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Vie locale

la Pagaie Sauvage s’attaque aux microplastiques

Le fleuve de l’Adour transporte jusqu’à 0,8 microplastiques par mètre cube

Le fleuve de l’Adour transporte jusqu’à 0,8 microplastiques par mètre cube

Association collégiale à but non-lucratif, la Pagaie Sauvage a pour vocation d’être un réseau de partage de connaissances autour des microplastiques en eaux douces. Elle rassemble, à Bayonne, des citoyens bénévoles, des sportifs, des animateurs et des pêcheurs, tous sensibles à la problématique des déchets dans les rivières. Portrait d’une association qui bouge.

Si la Pagaie Sauvage met en lien ceux qui veulent en apprendre plus sur les microplastiques en eaux douces, elle assure aussi un lien entre les acteurs locaux et la recherche. La raison ? Mettre en avant les dangers représentés par cette pollution.

D’une passion à une action de prévention

A ses débuts, la Pagaie Sauvage, c’est un « blog de balades en canoë ». Son but était de transmettre une passion pour les rivières et la nature au travers de nombreux conseils divers et variés. « C’est au cours de nos descentes que nous sommes tombés sur d’innombrables déchets visibles. Ces macrodéchets nous ont poussé à nous demander quelle était la partie immergée de l’iceberg », explique l’association. C’est alors le tournant : le blog laisse la place à l’association collégiale à but non-lucratif.

Dans son travail de prévention, la Pagaie Sauvage facilite l'accès aux données brutes aux chercheurs. Elle établit des outils de sciences participatives adéquates puis elle assure la transmission des résultats et des observations...

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