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Vie quotidienne Entreprise

Ferflex, un concept de papier peint magnétique

Martin Teillard à gauche et Pauline Pigeon sont les créateurs de Ferflex, le papier peint magnétique. © Alexandra Delalande

Martin Teillard à gauche et Pauline Pigeon sont les créateurs de Ferflex, le papier peint magnétique. © Alexandra Delalande

Pauline Pigeon et Martin Teillard, deux jeunes entrepreneurs de Biarritz et d’Artix, ont imaginé un papier peint magnétique, de conception et de fabrication basque et béarnaise. Il peut aussi bien être utilisé pour son aspect décoratif que pour son aspect pratique. Une gamme enfant permet également de développer le côté créatif et la motricité des petits.

À l’heure, où les ménages se prennent de passion pour la décoration de leur intérieur, Ferflex arrive à point nommé. Ce papier peint magnétique, fonctionnel et astucieux, habille vos murs et personnalise votre intérieur. Il permet de créer un tableau magnétique, évolutif selon vos envies du moment.

Pour le côté pratique, il peut servir de pense-bête en y accrochant vos ordonnances, vos listes de course ou des messages à destination des membres de la famille. Vous pouvez aussi l’utiliser comme tableau décoratif avec des cartes postales, des photos et les dessins d’art de vos enfants.

Une phase de test en boutique

À l’origine de cette idée de décoration, Pauline Pigeon et son époux Martin Teillard. A l’époque, elle s’occupe d’un concept store sur Biarritz où elle propose de jeunes marques de prêt-à-porter, accessoires et décoration. En 2013, Martin, diplômé de grandes écoles de commerce, décide de reprendre les rênes de l’entreprise créée par son père en 1985, à Mazères-Lezons dans le Béarn : la société CT Magnet spécialisée dans les aimants et les solutions magnétiques.

Il continue de développer les produits et certains marchés. Il tente également de répondre à de nombreuses demandes de clients qui souhaitent acquérir des aimants pouvant tenir sur de la peinture magnétique.

« Les peintures magnétiques se sont installées dans les intérieurs. Mais les clients nous appelaient car leurs aimants ne tenaient pas dessus », raconte Martin. « En fait, la concentration de particules métalliques dans ces peintures était trop faible pour maintenir les aimants efficacement. Seuls des aimants très puissants ne glissaient pas ».

En réfléchissant tous les deux à une solution...

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