Sécurité des JO de PARIS 2024 : Un défi à relever sans incidence locale
À gauche, Abdelhamid Faddeoui (Président du GES) avec le Directeur de Cabinet du Préfet, Vincent Bernard-Lafoucrière © YR
Lors de son passage à Biarritz la semaine dernière, le Président du premier syndicat professionnel des entreprises de sécurité a rencontré le Directeur de Cabinet du Préfet du département 64. L’occasion pour les deux hommes de rappeler la nécessaire complémentarité entre les forces de l’ordre et la sécurité privée, à la veille d’un été riche en événements et en risques potentiels.
L’été 2024 ne sera pas vraiment comme les autres. L’organisation des Jeux olympiques et paralympiques en France se prépare dans un contexte de menaces multiples. Au premier rang des risques figure celui du terrorisme, encore plus présent dans les esprits depuis les attentats de Moscou (22 mars dernier). « Il est certain que nous aurons le niveau de vigilance le plus haut possible » assure Vincent Bernard-Lafoucrière, Directeur de Cabinet du Préfet des Pyrénées- Atlantiques.
Un enjeu national
Présent au Sofitel de Biarritz, le 26 mars dernier, il venait échanger avec les représentants des entreprises de sécurité privée. Car en cette année olympique, « les besoins sont décuplés », et ces sociétés sont perçues comme des acteurs essentiels pour relever le défi.
« C’est un enjeu national, cela arrive une fois tous les cent ans », s’enthousiasme Abdelhamid Faddeoui, Président du GES, le Groupement des Entreprises de...
Cet article est réservé aux abonnés. Pour lire la suite de cet article, vous pouvez acheter notre journal ou vous abonner.
Accédez à toute l'actualité et aux annonces légales en illimité
1 AN (52 n°)Hebdomadaire
à partir de 25,00 €/an *
(* Tarif en vigueur en France Métropolitaine, valable pour la version numérique)
Déjà abonné ? > je me connecte