Lynxter, la startup de l’impression 3D poursuit son envol
L’atelier d’assemblage, situé à Technocité à Bayonne.
Installée à Bayonne à la Technocité, Lynxter propose des imprimantes 3D industrielles. Ses inventeurs ont fait le pari de la souplesse de la machine qui propose des têtes outils sur mesure. Un pari réussi puisque Lynxter ne cesse de s’agrandir, même en cette année de pandémie.
C’est une machine qui ressemble à toutes ses semblables. D’extérieur seulement. Quand on l’observe plus précisément, on remarque notamment que le bras de la S600D permet l’installation de têtes outils sur mesure. Silicone, élastomère, céramique, les clients peuvent ainsi produire la pièce dont ils ont besoin, comme un isolant électrique, une réplique de statue ou des produits très spécifiques.
Des ingénieurs à l’idée brillante
C’est en 2016 que trois étudiants à l’ENIT, école d’ingénieurs de Tarbes, fondent Lynxter. À l’époque, Thomas Batigne, Karim Sinno et Julien Duhalde présentent le concept de leur machine lors du concours entrepreneurial les Entrep’. Ce dernier tape dans l’oeil d’Airbus qui signe avec eux un contrat, alors que la machine n’est pas encore construite. En 6 mois et dans le garage des parents de Julien à Lahonce, les trois ingénieurs conçoivent leur première machine. Après un accueil plus que positif en 2018 au 3D Print, salon référent de la fabrication additive en France, où est présentée la S600D, Lynxter fait une levée de...
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