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Économie Vie locale

La ministre face aux capitaines d’industrie du département

La ministre de l’Industrie Agnès Pannier-Runacher, aux côtés du préfet Eric Spitz, pour échanger avec des chefs d’entreprise du département © YR

La ministre de l’Industrie Agnès Pannier-Runacher, aux côtés du préfet Eric Spitz, pour échanger avec des chefs d’entreprise du département © YR

Présente à Pau, le 28 janvier dernier, Agnès Pannier-Runacher était reçue par le préfet Éric Spitz. Au menu de son déplacement, la ministre déléguée chargée de l’Industrie s’entretenait avec des chefs d’entreprise locaux pour échanger sur la reconquête industrielle, un secteur représentant 15 % du PIB national et plus de 75 000 emplois en Nouvelle-Aquitaine.

Malgré le masque sanitaire, le sourire s’entend sur le visage d'Agnès Pannier-Runacher. Le matin de son arrivée en Béarn, le chiffre exceptionnel de la croissance 2021 est publié. « Une croissance extraordinaire de 7 %, bien au-dessus de ce que nous pensions, bien au-delà de la moyenne européenne, la plus élevée en France depuis 52 ans » se réjouit la ministre chargée de l’Industrie. Un symbole de réussite prouvant l'efficacité de l’action gouvernementale en matière économique face à la crise liée au virus Covid-19.

Réindustrialiser la France avec les filières de demain

Venue rencontrer les chefs d'entreprise du département, la ministre souligne le dispositif à trois niveaux mis en place. Tout d’abord, les aides d’urgence afin de protéger l’outil de travail. Puis le plan France Relance afin de maintenir l’investissement des entreprises durant cette période, et le plan France 2030 visant à « construire les filières industrielles dont nous aurons besoin demain ». Parmi ces filières, figure évidemment celle de la santé, un domaine sensible dans lequel l’entreprise Novasep vient de s’illustrer en signant quelques jours auparavant un contrat de production pour le groupe pharmaceutique Pfizer.

Un tel événement démontre « que la France est de nouveau attractive » souligne la ministre. Face à elle, Patrick Suescun, directeur du site de Mourenx raconte par écran interposé comment son entreprise a bénéficié de subventions au titre de France Relance, afin « de se moderniser et de continuer à innover ». Une dynamique dont le résultat se traduit par la signature de cette convention créatrice « d'une quarantaine d’emplois sur le site de Mourenx ».

Présent autour de la table, Eric Robert, dirigeant de Fleur de Vie, est dans le même état d’esprit. Spécialisée dans la production de Spiruline, sa société a bénéficié de...

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