Le point sur l'origine du feu : une action humaine
Le matin du samedi 1er août, Caroline Parizel, vice-procureur de Bayonne, s'est rendue au stade d'Orok Bat à l'endroit où le feu s'est déclaré le jeudi 31 juillet, accompagnée d'une équipe d'experts. Lors d'une conférence de presse donnée au coeur de la forêt du Pignada, elle a livré les premiers éléments d'enquête.
André Zahra, chef de la section incendie et explosion du laboratoire de police scientifique de Marseille a indiqué que « ce qui est primordial pour faire avancer l'enquête est de déterminer le point de départ du feu. Nous recherchons tous les indices. Nous faisons des prélèvements pour recueillir d'éventuelles substances inflammables, nos collègues de l'identité judiciaire relèvent eux les empreintes ADN, les traces de pas, de mains ».
Grâce à des témoignages, à la combustion des troncs d'arbres, aux traces sur les pierres, et à leur fine observation, les nombreux enquêteurs sur place ont pu procéder à des relevés. Ces derniers ont permis à Caroline Parizel de tirer des premières conclusions : « Il n'y a qu'un seul...
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